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CIOdc est le catalogue d’interopérabilité sémantique du médicament. Composé d’un ensemble de données informatiques, il décrit toutes les spécialités pharmaceutiques commercialisées en France bénéficiant d’une codification. CIOdc couvre les spécialités agréées et non agréées aux collectivités, les spécialités sous AMM et sous accès dérogatoire (AAP/AAC). Il ne comprend pas les spécialités sans codification, telles que les matières premières, les aliments de nutrition entérale, la phytothérapie, l’homéopathie …

CIOdc permet à toutes les applications informatiques impliquées dans le circuit du médicament de communiquer entre elles grâce à des données codées et structurées. CIOdc peuple les logiciels hospitaliers et a pour vocation de faciliter les échanges de données de santé en toute sécurité. Agissant comme un langage commun, CIOdc est un prérequis nécessaire à l’interopérabilité des systèmes d’information.

 

Parce qu’elles suivent le médicament tout au long de son circuit à l’hôpital. Le logiciel de prescription du service de soins doit communiquer avec le logiciel de dispensation de la pharmacie pour transmettre la prescription. Dans le sens inverse, l’informatique de la pharmacie doit être capable de communiquer un avis pharmaceutique (un avis de dispensation). L’acte de dispensation doit se traduire par une sortie de stock dans le logiciel de Gestion Économique et Financière (GEF) lequel devra assurer le réapprovisionnement en communiquant électroniquement ces bons de commandes vers les fournisseurs. Le raisonnement s’applique ainsi à toutes les applications interposées sur le circuit du médicament : préparation des chimiothérapies, rétrocession, automates de dispensation, gestion des marchés, …

 

Non. CIOdc ne décrit que les attributs communs à toutes les applications ainsi que les seuls attributs dont la valeur ne dépend pas de l’établissement. Ainsi, il restera à renseigner et à mettre à jour les champs relatifs au compte budgétaire, au mode de dispensation, au marché…

 

Plus de 570 établissements utilisent actuellement CIOdc, tous secteurs confondus (CH, CHU, CLCC, cliniques privées). La liste de ces établissements peut être consultée sur une carte interactive disponible sur le site web de PHAST.

 

Informations Générales

CIOdc est le catalogue d’interopérabilité sémantique du médicament. Composé d’un ensemble de données informatiques, il décrit toutes les spécialités pharmaceutiques commercialisées en France bénéficiant d’une codification. CIOdc couvre les spécialités agréées et non agréées aux collectivités, les spécialités sous AMM et sous accès dérogatoire (AAP/AAC). Il ne comprend pas les spécialités sans codification, telles que les matières premières, les aliments de nutrition entérale, la phytothérapie, l’homéopathie …

 

CIOdc permet à toutes les applications informatiques impliquées dans le circuit du médicament de communiquer entre elles grâce à des données codées et structurées. CIOdc peuple les logiciels hospitaliers et a pour vocation de faciliter les échanges de données de santé en toute sécurité. Agissant comme un langage commun, CIOdc est un prérequis nécessaire à l’interopérabilité des systèmes d’information.

 

Parce qu’elles suivent le médicament tout au long de son circuit à l’hôpital. Le logiciel de prescription du service de soins doit communiquer avec le logiciel de dispensation de la pharmacie pour transmettre la prescription. Dans le sens inverse, l’informatique de la pharmacie doit être capable de communiquer un avis pharmaceutique (un avis de dispensation). L’acte de dispensation doit se traduire par une sortie de stock dans le logiciel de Gestion Économique et Financière (GEF) lequel devra assurer le réapprovisionnement en communiquant électroniquement ces bons de commandes vers les fournisseurs. Le raisonnement s’applique ainsi à toutes les applications interposées sur le circuit du médicament : préparation des chimiothérapies, rétrocession, automates de dispensation, gestion des marchés, …

Non. Les implications fonctionnelles sont nombreuses. Tout d’abord, une description rigoureuse va consolider tous les actes de gestion à l’intérieur de la pharmacie : inventaire, création et mise à jour du livret, analyse de gestion. Ensuite, une identification unique va rendre applicable ou considérablement simplifier tous les processus de collecte et de rapprochements de données faisant l’objet d’exigences réglementaires : FICHCOMP, Sérialisation, Nomenclatures achats et marchés (NCHFS), CAQES, …. Tous ces aspects s’expriment, in fine, en termes de gains de temps, de qualité et de sécurité.

 

Oui, plusieurs semaines peuvent être gagnées lors de la mise en place du fichier produits d’une nouvelle application. Ce gain de temps est un facteur de succès dans la conduite du déploiement d’un logiciel dans un établissement.

 

Parce que toutes les applications, pour communiquer, doivent partager, à un instant donné, une description unique du médicament. Si ce n’est pas le cas, les interfaces entre les applications génèrent des erreurs.

CIOdc participe à la mise en œuvre d’un système unique de gestion des pharmacies au sein d’un GHT grâce à une standardisation des échanges entre les PUI et les logiciels d’aide à la prescription. Pour cela, la DGOS recommande le standard PN13/ SIPh et son catalogue produit CIOdc.

 

CIOdc permet un dialogue « sans faute » entre toutes les applications du circuit du médicament. Pour y parvenir, il vient alimenter la mise à jour automatique de tous les fichiers produits de chaque application cible. Par conséquence, il dispense les équipes pharmaceutiques et toutes celles qui travaillent sur les spécialités pharmaceutiques de réaliser ce travail fastidieux. Ainsi, au quotidien, l’intérêt de CIOdc se manifeste dans la suppression d’une fonction répétitive, sans valeur ajoutée et génératrice d’erreurs qu’est la gestion du fichier produits.

 

Non. CIOdc ne décrit que les attributs communs à toutes les applications ainsi que les seuls attributs dont la valeur ne dépend pas de l’établissement. Ainsi, il restera à renseigner et à mettre à jour les champs relatifs au compte budgétaire, au mode de dispensation, au marché…

Plus de 570 établissements utilisent actuellement CIOdc, tous secteurs confondus (CH, CHU, CLCC, cliniques privées). La liste de ces établissements peut être consultée sur une carte interactive disponible sur le site web de PHAST.